L’assurance contre les risques politiques agit comme un filet de sécurité contre les décisions ou les actions d’un gouvernement ou d’une force politique. Elle peut couvrir des risques tels que :
- La violence politique, ce qui comprend généralement les guerres civiles, les coups d’État, les insurrections, les révolutions, le sabotage, les grèves et les émeutes ainsi que le terrorisme et la guerre, qui causent des dommages matériels ou l’abandon d’actifs ou d’activités, et la perte de revenus d’entreprise connexe.
- L’expropriation par le gouvernement d’actifs ou d’activités, y compris la reprise de possession d’actifs par un créancier.
- Les restrictions quant à la conversion de fonds locaux en monnaies fortes ou au transfert de fonds à l’étranger dans le cadre de la remise de dividendes, du service de la dette ou d’autres flux de trésorerie générés dans le pays à un assuré.
- Le non-respect d’une sentence arbitrale, si une entité gouvernementale enfreint ses obligations contractuelles.
- Les risques liés au crédit, comme le non-paiement d’un gouvernement.