Les sociétés qui veulent procéder à un premier appel public à l’épargne sont examinées minutieusement dès qu’elles annoncent leurs intentions. Les dépôts initiaux et les tournées qui visent à attirer des investisseurs peuvent également attirer l’attention des organismes de réglementation, du public et des avocats des demandeurs.
Voici certains des plus grands risques liés à un premier appel public à l’épargne :
- Préparation inadéquate : les entreprises qui ont l’intention de devenir des sociétés ouvertes pourraient devoir apporter des changements à leur comptabilité, à leurs systèmes de production de rapports et à leurs pratiques de gouvernance. Elles pourraient vouloir solliciter l’aide de professionnels en finances, en droit et en gestion des risques ayant de l’expérience auprès de sociétés ouvertes. Cette préparation au premier appel public à l’épargne peut faciliter la transformation.
- Échec du premier appel public à l’épargne : l’incapacité à exécuter un premier appel public à l’épargne peut être interprétée comme un problème sous-jacent et entraîner des litiges.
- Déclarations trompeuses : les déclarations et les divulgations sont des renseignements essentiels pour les investisseurs. Des déclarations considérablement trompeuses ou des omissions importantes peuvent entraîner des poursuites contre la société, ses administrateurs et ses dirigeants.