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11/24/2021
Les programmes d’avantages sociaux des employés – et les équipes chargées de les exécuter, de les gérer et d’en rendre compte – ont été propulsés sur le devant de la scène et retiennent désormais toute l’attention de la filière HD.
L’importance d’offrir une expérience employé uniforme à l’échelle mondiale s’est également accrue de façon exponentielle, sous l’effet de la pandémie de COVID-19. Le bien-être était, sans surprise, un objectif clé sur le plan du soutien et du financement. L’investissement dans les avantages sociaux des employés et la technologie a augmenté à l’échelle de l’entreprise.
Toutefois, les entreprises ont encore beaucoup à faire pour optimiser leur utilisation des données et des analyses.
La plupart des entreprises ont apporté des changements à leurs avantages sociaux en réponse à la pandémie, plus de 7 sur 10 ayant augmenté les dépenses dans l’ensemble. Mais cette augmentation des coûts s’accompagne d’une surveillance plus étroite : 88 % des équipes des RH et des avantages sociaux ont constaté une plus grande implication de la direction. Nos conclusions montrent que les employeurs ont eu de la difficulté à se servir des données pour prouver l’effet qu’ont eu leurs changements sur les employés. Un cinquième des entreprises n’utilisent pas du tout les données sur les employés dans leurs rapports, et ceux qui le font sont confrontés à plusieurs obstacles importants.
* Tableau disponible en anglais seulement
Description accessible du tableau : Avec 36 %, la préoccupation relative au stockage et à l’utilisation des données sur les employés arrive en première position. Cet obstacle pour les employeurs est étroitement suivi par le trop grand nombre de sources de données à 32 % et par le manque de temps dans l’équipe pour se consacrer aux analyses à 31 %. En quatrième et cinquième position, avec 28 % et 25 % respectivement, viennent le manque de technologie et le manque d’adhésion de la haute direction. Enfin, les données de mauvaise qualité et le fait de ne pas savoir où commencer se situent tous deux en sixième position à 17 %, ce qui montre que l’accès à des données fiables et à des conseils pour bien analyser ces données demeure problématique.